On n'aura qu'à faire comme si tout allait bien,
Si c'est pas vrai.... ça fait rien.
On n'aura qu'à faire semblant,
Quite à faire sans,
Quite à faire comme.... nos parents.
Comme un bon p'tit soldat, bon apôtre,
Pas un geste, pas un mot.... plus haut que l'autre.
C'est la Dolce Vita,
Il faut bien qu'on oublie,
Cette vie qu'on ne vit pas,
Qu'on s'est pourtant promis.
Et voilà le doute et le mépris,
Voilà à quoi nos vies.... se résument.
Il aura suffit d'un coeur en panne de coeur,
Pour que la flamme.... se consume.
Il aurait suffit d'un peu d'amour, encore,
Pour que la famme.... se rallume.
Mais la Dolce Vita,
Ce peut-il qu'on oublie?
Cette vie, qu'on ne vit pas,
Qu'on s'est pourtant promis.
Rapelle toi ce qu'on voulait,
Nous c'est l'amour,
Pas l'amertume et l'ennui.
Rappelle toi ce qu'on fesait,
Nous c'est l'amour,
Pas cette série de compromis.
En guise d'amour,
Nous voilà côte à côte,
Si proche et si distant l'un de l'autre.
Je vis, Tu vis, sans joie, sans cris,
J'assiste à notre lente agonie.
Ô rapelle toi ce qu'on voulait si fort,
[En fond: C'est la Dolce Vita,]
Il suffirait d'y croire encore.
Ô rapelle toi ce qu'on voulait si fort,
[En fond: Il faut bien qu'on oublie,]
Il suffirait de le vouloir encore.
Ô rapelle toi ce qu'on voulait,
[En fond: Cette vie, qu'on ne vit pas,]
C'était la Dolce Vita.
Qu'on s'est pourtant promis
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