|
|
2007 |
1. | |
2. | |
3. | |
4. | |
5. | |
6. | |
7. | |
8. | |
9. | |
10. | |
11. | |
12. | |
13. | |
|
. . .
|
|
Je suis partie bien à l’ heure
J’ai pris le train
En direction du cŒur
Pas vu le train
Qui mène à grande vitesse
Tu me délaisses
Une fille de seconde classe
A pris ma place
Chaque fois mon train qui déraille
Je ne suis pas de taille
Chaque fois mon cŒur qui déraille
Et ma tête , alouette, ma vie n’a ni queue ni tête
Chaque fois mon train qui déraille
S’engouffre dans la faille
Chaque fois mon cŒur qui déraille
Et la tête, alouette, ma vie n’a ni queue ni tête
Et qu’est-ce qu’on fait
On prendra le prochain
Sur l’autre quai
Nos corps ces grands voyageurs
Roulent oui mais
Oui mais les sautes d’humeurs
C’est sans arrêt
Et chaque fois nos trains qui déraillent
Nous ne sommes pas de taille
Chaque fois nos cŒurs qui déraillent
Et nos têtes, alouette, la vie n’a ni queue ni tête
Chaque fois nos trains qui déraillent
S’engouffrent dans la faille
Chaque fois nos cŒurs qui déraillent
Et la tête, alouette, la vie n’a ni queue ni tête
Chaque fois les hommes déraillent
Et se livrent bataille
Chaque fois les hommes déraillent
Et se livrent bataille
Et pourquoi ?
Oui pourquoi ?
Et ça cogne, et ça saigne,
Et ça sent la fin de règne
Oh mais pourquoi les hommes déraillent ?
Et se livrent bataille ?
Dis pourquoi les hommes déraillent ?
C’est un fait, alouette, la vie n’a ni queue ni tête
C’est pourquoi le monde déraille
Et est mort à la bataille
Mais pourquoi le monde déraille ?
Et ça cogne, et ça saigne,
Et ça sent la fin de règne
C’est un fait, alouette, la vie n’a ni queue ni tête
. . .
|
|
Je suis un homme de cro-magnon
Je suis un singe ou un poisson
Sur la terre, en toute saison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond
Je suis un seul puis des millions
Je suis un homme au coeur de lion
A la guerre, en toute saison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond
Je suis un homme plein d'ambitions
Belle voiture et belle maison
Dans la chambre, dans le salon
Moi je tourne en rond, je tourne en rond
Je fais l'amour et la révolution
Je fais le tour de la question
J'avance, avance à reculons
Oui je tourne en rond, je tourne en rond
Tu vois, j'suis pas un homme
Je suis le roi de l'illusion
Au fond qu'on me pardonne
Je suis le roi, le roi des cons
J'ai fait le monde à ma façon
Coulé dans l'or et le béton
Corps en cage et coeur en prison
Moi je tourne en rond, je tourne en rond
Assis devant ma télévision
Je suis de l'homme la négation
Pur produit de consommation
Mais mon compte est bon, mon compte est bon
Tu vois, j'suis pas un homme
Je suis le roi de l'illusion
Au fond qu'on me pardonne
Je suis le roi, le roi des cons
C'est moi le maître du feu, le maître du jeu
Le maître du monde, et vois ce que j'en ai fait
Une terre glacée, une terre brûlée
La terre des hommes que les hommes abandonnent!
Je suis un homme au pied du mur
Comme une erreur de la nature
Sur la terre, sans d'autres raisons
Moi je tourne en rond, je tourne en rond
Je suis un homme et je mesure
Toute l'horreur de ma nature
Pour ma peine, ma punition
Moi je tourne en rond, je trourne en rond
. . .
|
|
Pour nos rêves qui tombent des nues
Noyés sous la pluie du temps perdu
Nos coeurs de glace qui cassent
De guerres si lasses, si lasses
Je prie les dieux moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire en cet homme
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes
Pour nos âmes meurtries
D'avoir trouvé
Au seuil de notre vie
Portes fermées
Pour nous pauvres imbéciles
Y a-t-il une vie
Encore avant la mort
Je prie les dieux moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire en cet homme
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes
Je prie les dieux moi qui ne crois plus en rien
Je prie les dieux de lui tendre la main
Pour cet ange presque mort, je vous implore
Pour qu'il aime encore
Qu'il aime encore
Pour qu'il aime encore
Qu'il m'aime encore encore encore...
. . .
|
|
Je ne sais pas où je vais où je suis
Jet lag jet lag
Quand je décolle et quand j'atteri
Jet lag jet lag
Si je gagne une heure
Si je perd une heure
Mais pour que nos amours en transit n'arrivent pas trop vite à la fin du voyage
Je vis toujours en décallage pour traverser les âges sans que l'on se quitte
En mer je t'aime élancé mais faut pas de vagues
Jet lag jet lag
Je m'invite dans tous les pays toutes les langues
Jet lag jet lag
On peut changer d'heure
Sans changer de coeur
Et pour que cette vie en transit n'arrive pas trop vite à la fin du voyage
Avant que les forces ne me quittent
Je m'envole suspendue dans la course folle
Je vole pour ne pas vivre clouée au sol
On vole comme on prendrait la fuite quand les forces nous quittent à la fin du voyage
Pour revivre comme un mirage
On s'envole suspendus dans la course folle
On vole pour ne pas vivre cloués au sol
On vole en planant encore un peu plus loin
On vole une heure encore avant la fin
(Merci à Sara pour cettes paroles)
. . .
|
|
On oublie les adresses
Comme les gens qui nous blaissent
On oublie sans cesse
Les jours d'anniversaires et nos clefs,les repères, on les perd
On oublieras les chaines de nos vies qui se trainent
On oublies quand même
Mais il est une chose à laquelle nous resterons fidèle
Les yeux,la voix,les mains,les mots d'amour ca reste là
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour ca reste là
C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ca ne s'oublies pas
Ne s'oublie pas, ca
On oublies pas
J'oublierai ce mois d'aout où j'ai du faire la route sans toi
Sans doute
J'oublierai ma defaite et le reve qui s'arrete
J'oublierai peut etre
Mis j'y pense encore quelques fois et ca ne s'explique pas
S'explique pas
Tes yeux,ta voix,tes mains sur moi toujours ca reste là
Le jour et l'heure,ta peau,l'odeur,l'amour ca reste là
C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ca ne s'oublies pas
Ne s'oublies pas, ca
Je n'oublies pas
Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour ca reste là
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublies pas
Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour
Ca reste là
On oublie pas
Ca s'oublie pas
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublies pas
Ca s'oublie pas
Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour
Ca reste là
On oublie pas
Je t'oublie pas
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublies pas
Je ne t'oublierais jamais
(Merci à Sara pour cettes paroles)
. . .
|
|
[Zazie]
Oui
Je sens le vent
Je sens la pluie
Ressens la peine
Le sang qui coule dans mes veines
Poursuit sa route
Je suis la mienne
Et c'est si simple de vivre
Et c'est si simple de vivre
Et c'est plus simple de vivre
Que t'aimer
[Paolo Nutini]
Well it's true
I feel the wind
I feel the rain
I feel the pain
I feel the shame
Same blood running through my veins
Same beating heart
One for each mind
And it's so easy to live
And it's so easy to live
And it's so easy to love
Why don't we
[Zazie et Paolo Nutini]
We keep on running on we
From now i'm running away
Life means nothing at all
If I don't fall
In love with you
. . .
|
|
Qui a piqué mon cartable, qui a mangé tous mes bonbecs
qui a dormi dans mon lit
et qui ma trompé aussi sec
qui c'est qui m'a dit tout est fini, c'est pas moi je regrette
c'est celui qui dit qui est
(refrain)
Na na na na na na na oho *2
n'allez pas me dire que c'est ça le bonheur oho
j'ai deja connu le pire autant que le meilleur
qui est heureux en amour allez j'attend lever le doigt
qui sait qui l'attend toujours, c'est pas moi, mais si c'est moi !
qui n'a que c'est yeux pour pleurer
(refrain)
mais qui voudrait d'une fille en colere
qui a perdu tous c'est homme a la geurre
le charme n'opère que sur un coeur ouvert, ouvert
mais qui va ce retrouver bientot toute seule devant sa télé
célibataire, sait plus quoi faire pour ce faire remarqué
qui c'est qui va crié sur les toits, aimez moi !
c'est celui qui cri, qui es
Na na na na na na na oho *2
n'allez pas me dire que c'est ça le bonheur
quand on a vecu le pire on veut le meilleur
Na na na na
(Merci à ben pour cettes paroles)
. . .
|
|
Pleure
Toutes les larmes de ton corps
Et dors
Tu n'es pas prêt encore
Oui, pleure
Le bonheur évanoui
Et meurs
Pour renaître à la vie
Car aussi lourd le sommeil comme le soleil
Aussi bas que l'on soit, on se rélèvera
Aussi dure est la vie, elle est belle aussi
Car autant un coeur est lourd
Autant qu'il bat toujours
Ton coeur
Nos paradis perdus
Douceur
A nos corps défendus
On laisse
Nos ivresses à la casse
On plonge
Pour refaire surface
Car aussi lourd le sommeil comme le soleil
Aussi bas que l'on soit, on se rélèvera
Aussi dure est la vie, elle est belle aussi Car autant un coeur est lourd
Autant qu'il bat toujours
Hooo, ouvre les yeux
Hooo, ouvre les yeux
Et vois, le temps après la pluie
Tu vois, on se remet de tout
Crois-moi, si l'amour est parti
Dis-toi que l'amour est partout
. . .
|
|
Le pied
La jambe
L'esquisse
La cuisse
Un bras
De fer
Un coeur
De pierre
Mes mains
Sur lui
S'abîment
Mes mains
Qui saignent
Dressées comme un totem
Je sculpte
Je taille
J'invente
Cet homme
Qui m'aime
Qui m'aime
Plus fort
Encore
Plus haut
Le corps
Plus dur
Plus chaud
Mon âme
De Sqauw
Façonne
Cet homme
Rêvé
Caresse
L'idée
Dressée comme un totem
Je sculpte
Je taille
Un temple à l'homme que j'aime
Que j'aime
Encore
Je prie
J'attends
L'esprit
Du vent
La vie
Pénètre
En moi
La vie
Peut être
Dressée comme un totem
Je sculpte
Je taille
Je souffle à l'homme que j'aime
Enfin...
Viens...
Viens...
Viens...
viens...
. . .
|
|
Les etoiles ont filé
Je fais le voeu qu'on serait
Heureux puisqu'on ne l'est pas
En verité
Des lors que je dors en revanche
Je m'arrange
Je fais de nous des anges
...
Où l'on s'aime
Où personne ne nous derange
Et je ferme les yeux sur le monde
Tu epouses mes ombres
L'espace d'une seconde
Nos reves se confondent
And I...
And I love you
Je me fous de ce qu'on en dit
Je reve donc je suis
A voir les hommes se defiler
Comme les voeux sans se realiser
...
Le coeur nous manque et nous pese
A en crever
Alors j'attends que tombe la nuit
Dans le noir
Le desespoir est permis
Je te suis fidele à l'infini
Ca me suffit
And I...
And I love you
Je sais bien ce que tu en dis
You don't love me
You don't love me
. . .
|
|
J'étais là tu vois, lui à côté de moi
On avait six ans
On jouait comme des enfants, au docteur
Au docteur
J'étais là, je voyais sur son corps les plaies,
Les marques, les bleus
J'en croyais pas mes yeux,
Mes yeux
Et lui qui m'disait "J'suis un dur
Tu vois les brûlures là, sur mes bras
J'les sens pas
J'les sens pas"
J'étais là, j'ai rien dit
Et puis j'suis partie de chez lui
Si j'y suis retournée ?
Plus jamais
Plus jamais
J'étais là, comme lui, j'avais quinze ans à peine
On était dans la cave, chez ses parents
Je l'aimais tant
Faut dire qu'il était beau, mais il se piquait, mon héros, à l'héro
J'étais là quand sa mère est venue me dire
"C'est fini ! On l'enterre lundi
Lundi"
J'ai pleuré bien sûr, j'ai pleuré
Puis j'ai recommencé à traîner dehors
Dehors
J'étais là en octobre quatre-vingts, après la bombe Copernic
Oui, j'étais à la manif
Avec tous mes copains
J'étais là, c'est vrai qu'on n'y comprenait rien
Mais on trouvait ça bien
Ça bien
Oui, j'étais là pour aider,
Pour le sida, les sans-papiers
J'ai chanté
Chanté
Sûr que j'étais là pour faire la fête
Et j'ai levé mon verre à ceux qui n'ont plus rien
Encore un verre, on n'y peut rien
J'étais là devant ma télé à vingt heures
J'ai vu le monde s'agiter
S'agiter
J'étais là, je savais tout de la Somalie,
Du Bengladesh et du Rwanda
J'étais là
J'ai bien vu le sort que le Nord réserve au Sud
Bien compris le mépris,
J'étais là pour compter les morts
J'étais là et je n'ai rien fait
Et je n'ai rien fait
J'étais là pourtant
J'étais là et je n'ai rien fait
Je n'ai rien fait
. . .
|
|
Que dire à ceux qui me voient
Fondre en larmes, rire aux éclats
Que ça va, que ça ne va pas
Peu importe le vent tournera
Que dire à ceux qui me croient
Incapable de filer tout droit
La slalom est le propre de l'homme
Je me plais dans tous mes états
C'est Yin c'est Yang
C'est Yin c'est Yang
Je dis à qui veut l'entendre
Que la fille est un coeur à prendre
J'ai le Big Bang sur le bout de la langue
J'ai le monde au bout de mes doigts
Peu importe ce qu'on dira
Des eaux troubles où je traîne ici bas
C'est comme ça la vie avec moi
Je m'y baigne comme je m'y noye
C'est Yin c'est Yang
C'est Yin c'est Yang
C'est ta ta ta...
C'est Yin c'est Yang
C'est Yin c'est Yang
Yin Yang,
King Kong,
Big Bang,
Gang Bang
Yin Yang...
(Merci à Marjolaine pour cettes paroles et à Lipoona pour cettes corrections)
. . .
|
|
Je suis un garçon manqué
Qui sait jouer à la poupée
Je peux quand il veut changer de rôle
Quitte à perdre le contrôle
Je me vois couché sur le dos
Mon âme au repos
Et j'envoie en l'air tout l'univers
Que nos vies sont belles
Vues du ciel
Vue du ciel
Vue du ciel
La vie est belle
Un homme vient de poser
Sur la lune sa fusée
Pour venir il a tant, tant voyagé
C'est à mon tour d'y monter
Je le vois couché sur le dos
Son âme au repos
Et j'envoie en l'air tout l'univers
Que cet homme est beau
Vu du ciel
Vue du ciel
Vue du ciel
La vie est belle
Je suis un garçon manqué
Qui va finir en beauté
(Merci à Cole pour cettes paroles)
. . .
|
|