|
|
12/07/2010 |
1. | |
2. | |
3. | |
4. | |
5. | |
6. | |
7. | |
8. | |
9. | |
10. | |
11. | |
12. | |
13. | |
14. | |
15. | |
16. | |
17. | |
18. | |
19. | |
20. | |
21. | |
|
. . .
|
|
Tu demandais hier
Mon avis sur le bonheur
L'air de rien voilà que tu t'inquiètes
La paix te ferait donc peur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volaient
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vie secrète
Pourtant... pourtant... pourtant
Les mots sont, les mots font, les mots disent
Les mots coulent, les mots roulent sur un fil
Moi, je laisse ces microbes, ces missiles
Aux bavards, aux poètes si possible
Oh... comme je t'aime quand tu t'expliques
C'est drôle mais...
J'ai rangé les modes et les recettes
Incendié la boîte, mon coeur
De ce petit sacrifice me reste
Un vertige, une chaleur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volaient
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vie secrète
Pourtant... pourtant... pourtant
Tu sais, tu me demandais hier
Ma vision du bonheur
Eh bien, chaque jour elle est plus nette
Il ne nous fera plus peur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volaient
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vision secrète
Pourtant... pourtant... pourtant
. . .
|
|
Mais que fait la vie ?
Que fait la vie ?
Que fait la nuit de nos bébés ?
Qui dois-je annoncer ?
Faire le pressing ou repasser
J'hésite
Je m'étais déjà repliée
Des pompes ou des apnées
J'hésite
Un mille bornes, plutôt crever
Mais que fait la vie ?
Que fait la vie ?
Que fait la nuit de nos dossiers ?
Qui dois-je dénoncer ?
J'aurais voulu que tu me vois
Le long des alluvions
Des hallus que nous avions
Affrontant dragons
Simbad et Aragon
J'aurais voulu que tu me crois
En proie à l'Oregon
Mais que fait la vie ?
Que fait la vie ?
Que fait la nuit de nos allées
De nos lauriers jonchées ?
Donner des ordres au jardinier
J'évite
Trop d'infos à recouper
Trop de chiffres à défricher
J'évite
Et de halos à décrocher
J'aurais voulu que tu me vois
Le long des alluvions
Des hallus que nous avions
Affrontant dragons
Simbad et Aragon
J'aurais voulu que tu me croies
En proie à l'Oregon
Faire le pressing ou repasser
J'hésite
Je m'étais déjà repliée
Ddes pompes ou des apnées
J'hésite
Un mille bornes, plutôt creuver
J'aurais voulu que tu me vois
Le long des alluvions
Des halluc' que nous avions
Affrontant dragons
Simbad er Aragon
J'aurais voulu que tu me crois
En proie à l'Oregon...
Mais que fait la vie
Que fait la vie
Que fait la vie
...
. . .
|
|
La mer, c'est la même tout l'temps
Avec le même vent
J'dis ça, j'suis pas l'marin
J'suis pas l'vent
J'connais des poissons contents
Ils ont l'air content
Mais qu'est ce que j'pourrais bien
Faire dedans
Toutes ces choses qui m'viennent
Toutes ces choses qui m'quittent
Ces choses qui reviennent
Ces choses qui requittent
Faudrait qu'ça m'revienne
Avant qu'ça m'passe vite
Junior suite
L'amour, on compare ça souvent
À un ocean
J'dis ça, j'suis pas l'bateau
J'suis pas l'temps
J'ai quelques amis naviguants
Ils sont naviguants
Moi j'ai déjà tellement d'eau
Qui fout l'camp
Toutes ces choses qui m'viennent
Toutes ces choses qui m'quittent
Ces choses qui m'reviennent
Ces choses qui requittent
Faudrait qu'ça m'repprenne
Avant qu'ça m'passe vite
Junior suite
. . .
|
|
Sur le radeau, t'es seul
T'es beau, tu rames au fil de l'eau
À quatre, la vie est plus belle
L'amour, l'amitié, c'est tout pareil
On t'aimait, Scarabée, on t'aimait
Au fil de l'eau
On croit que la vie est éternelle
On meurt parfois
De chanter seul
À quatre, à quatre, les murs font prison
Ça fait rien
Il fait beau
Au fil du temps
T'es seul, t'es grand
Et tu souris aux gens...
Du ciel, la vie est plus belle
L'amour, l'amitié, c'est tout pareil
On t'aimait, Scarabée, on t'aimait
Dans le soleil
Tu sais que la vie est éternelle
Y a plus de combat
On n'est plus seul
Au ciel, on n'est plus seul
Ça fait rien, il fait beau
Tout seul sur la terre
Chante un scarabée assassiné
Tout seul, il chante comme il chantait
Tout seul sur la terre
Chante un scarabée qu'on a tué
Tout seul, il chante comme il chantait
On t'aimait John-Scarabée, on t'aime
. . .
|
|
Tu es le clown dans mon café
Le ballon rouge sur mon nez
Le magicien auditionné
Au plus grand cirque jamais monté
Des trapézistes s'sont ramassés
Des lionnes, des tigres dépareillés
Tu es le seul dans mon café
L'seul numéro qu'j'peux pas sucrer
Mais qu'as-tu fait des plus fêté
De ceux qui me faisaient du thé
Du lait dont j'aurais dû douter
Le bel autodafé
Le bel autodafé
Que t'as fait là
Dans mon café
Tu es bien le diable embarqué
Pas besoin d'me l'faire remarquer
La cuillère a beau tourner
T'es touours là dans mon café
Même si j'ai pas fini d'jongler
Si j'ai pas assez répété
Avec toi c'est les yeux fermés
Tous ces couteaux qu'tu vas m'lancer
Qu'as-tu fait des plus affutées
De celles que t'as jamais plantées
Des feux de bengale de chak'côté
Le bel autodafé
Le bel autodafé
Que t'as fait là
Dans mon café
Le bel autodafé
Le bel autodafé
Que fais-tu là
Dans mon café
. . .
|
|
La vie s'embouteille
Et moi j'prends d'la bouteille
En attendant ton appel
Je freine, je cale et t'envoie des "call me"
Et puis j'te colle ces prénoms insensés
Qu'allaient si bien aux interdits sensés
Qui nous faisaient tant de bien, tant de bien
Une fois au moins dans sa vie
De préférence la nuit
Sous la pluie, écouter Chet Baker
Au fond d'une Studebaker signée Raymond Loewy
Ecouter Chet Backer, pleurer sur tout ce qui s'enfuit
Se dire que c'est fini jusqu'à tout à l'heure
Et revenir en arrière à toute allure
Je lis sur les enseignes
Que quand on saigne des quatres veines
La force manque à la haine
Le coeur manque à la peine
Je ronge mon frein
J'atterris sans mon train
L'ascenseur est cassé
Ces chutes insensées
Me font tant de bien
Une fois au moins dans sa vie
Ecouter Chet Backer, pleurer sur tout ce qui s'enfuit
Se dire que c'est fini jusqu'à tout à l'heure
Et revenir en arrière à tout allure
A tout à l'heure
J'écoute Chet Baker, Chet Baker
J'écoute Chet Baker, à tout à l'heure
. . .
|
|
Dear smoky room
Stardust in the eyes
Anything will rise
Our bellys bloomed
Sunset red fly toes
Haunted mind
Where I go there it goes
Your soul within mine
I'm a book in my dreams
See what I love you means
Far for the ground
Below the sky
No way around
Is where we hide
Between the sound
Before the light
My love and I live in never to be found
The music plays
Greatest overtimes
Candles burned down
For paper planes
Nothing is everything
Details too
You're the thrills for my wings
I'm flying for you
I'm a book in my dreams
See how I love you feels
Far for the ground
Below the sky
No way around
Is where we hide
Between the sound
Before the light
My love and I live in never to be found
J'ai fini d'me chercher
Falling into your nest
Depuis qu'j't'ai trouvé
I call it bliss
La meilleure personne en moi
For the best and less and the rest
Au fond c'est toujours toi
Nothing is quite like it use to be
Mon âme, mon amour, ma foi
Deep down inside of me
Les anges se passeront de toi
I'm done searching for myself
Reste encore au creux de moi
Since you're flowing in my vains
Cinq minutes jusqu'à l'infini
. . .
|
|
Pour un exil
Ce petit bout de femme t'emmènera loin
Tout est permis
J'ai mis mes pas dans les siens
Elle est bien le soleil
Puisque tout tourne autour d'elle
Petite merveille
Pas si facile
D'être aussi pure dans un monde qui l'est moins
Mille et une symphonies
Qu'elle inventera en un rien
Enfin le bonheur
C'est toutes les couleurs
De son coeur
Tu donnes goût à la vie
Je t'avoue je t'envie
T'es tout c'qui donne envie
M'donne la vie
Melody
Je m'adoucis
Quand je m'rends compte qu'au fond elle m'aime bien
Pour un de ses sourires je f'rais
Le tour de la terre sur les mains
Aux nouvelles des étoiles
Elle fait briller son âme
Quand l'jour s'enflamme
Tu donnes goût à la vie
Je t'avoue je t'envie
T'es tout c'qui donne envie
M'donne la vie
Melody
. . .
|
|
Carpe Diem, de bon matin
Sa main sur la mienne
J'oublie ce que je sais
Même ce qui m'attend
Celui qui m'amène
Ooohh, là j'en fredonne
Des airs contre temps
Ooohh, au temps on se cramponne
Révisant les caprices du vent
Jackadi vient
Jacka sa philosophie
Sais-tu seulement ce que sera demain
Oublie-le pour aujourd'hui
Mon capitaine à ses raisons
Et ses façons quotidiennes
Je n'y résiste pas
Même si j'essaie, même si je peine
C'est lui qui m'entraîne
Ooohh, là j'en l'entonne
Des airs contre courant
Facilement on se cantonne
Aux sifflements du vent
Jackadi vient
Jacka sa philosophie
Sais-tu seulement ce que sera demain
Oublie-le pour aujourd'hui
Pour aujourd'hui
. . .
|
|
I know you've got some pain to share
Like anybody else around
Each one of us a cross to bare
And then some day you may drown
This trouble in your heart
Will run away do all you've got to do
Whithin your sacrifices
For your soul is in chains how could you fly
Don't give up and do not cry
When those demons get you
I'll be yours till the end of time
Please believe me when i say you'll be fine
The circumstances are so unfair
Some days you walk on shaky ground
The trouble man is always there
For every moment you go down
You can no longer hide
Or run away do all you've got to do
You're sorrow's over now
Around your wounds begin your peace of mind
. . .
|
|
Je ne m'en souviens plus
La mélodie
De l'autre soir
Elle était toute simple
Elle était rêveuse
Elle était pour moi
Elle avait le pouvoir
De réconforter les gens
C'était pas un hymne
C'était pas un tube
À la rigueur une danse
C'était une mélodie qui faisait
Tatadatada
Une mélodie qui faisait comme ça tadatada
Aide-moi
J'avais le gros cafard
Elle est venue comme un chat
Entrée par ici repartie par là
S'est caressée à moi
C'était une mélodie qui faisait
Tatadatada
Une mélodie qui faisait comme ça tadatada
Le vent emporte les notes et les mots d'amour
Mais vous savez tout ça
Aide-moi
C'était une mélodie qui faisait
Tatadatada
Une mélodie qui faisait comme ça tadatada
Aide-moi
Aide-moi
Aide-moi
Une mélodie qui faisait comme ça
Aide-moi
Une mélodie qui faisait comme ça
Aide-moi
Une mélodie qui faisait comme ça
Aide-moi
Une mélodie qui faisait comme ça
. . .
|
|
The sun is out
The clouds are slowly going
And now my heart is growing fast
So let's get up
Put on you hat and clothing
Let's take a trip and lose our minds
Let's go walking through the park today
I love Sunday Mondays any day
When the skies are blue and it's not grey
I'll take Sunday Mondays any every day
Sometimes it's fun
To just escape and run
And leave the troubled world behind
So let's get lost
And get our juices flowing
And let's go se what we can find
Let's go walking through the park today
I love Sunday Mondays any day
When the skies are blue and it's not grey
I'll take Sunday Mondays any every day
Let's go walking through the park today
I love Sunday Mondays any day
When the skies are blue and it's not grey
I'll take Sunday Mondays any every day
. . .
|
|
Joe le taxi
Y va pas partout
Y marche pas au soda
Son saxo jaune
Connaît toutes les rues par coeur
Tous les p'tits bars
Tous les coins noirs
Et la Seine
Et ses ponts qui brillent
Dans sa caise
La musique à Joe
C'est la rumba
Le vieux rock au mambo
Joe le taxi
C'est sa vie
Le rhum au mambo
Embouteillage
Il est comme ça
Rhum et mambo
Joe, Joe, Joe
Dans sa caise
La musique à Joe résonne
C'est la rumba
Le vieux rock au mambo bidon
Vas-y Joe
Vas-y Joe
Vas-y fonce
Dans la nuit vers l'amazone
Joe le taxi
Et Xavier Cugat
Joe le taxi
Et Yma Sumac
Joe, Joe, Joe
Joe le taxi
C'est sa vie
Le rhum au mambo
Embouteillage
Joe le taxi
Et les Mariachis
Joe le taxi
Et le cha-cha-chi
Joe le taxi
Et le cha-cha-chi
Vas-y Joe
Vas-y fonce
Dans la nuit vers l'amazone
. . .
|
|
I saw you walk down the street
With some other girl
Always thought that I was the only one in your world
Baby can you tell me so
Out of sight out of mind ain't what love ought to be
And I hoped all the time that you'd be faithful to me
Faithful to me
All I'm asking you for when you walk out the door
Is to be my baby, baby
I just want to be sure
That forever and more
You would be my baby
Love is just like a flower baby it has to grow
And when you are away I'm even loving you more
I just have to let you know
One on one is the way and that's the way it should be
So if you're not gonna stay
Then don't be playing with me
You can set me free
All I'm asking you for when you walk out the door
Is to be my baby, baby
'Cause all this love is for you
And you know that I'm true
And I'll be your baby
All I'm asking you for when you walk out the door
Is to be my baby, baby
'Cause you knew from the start
That you were working my heart
Won't you be my baby
I remember our walk the other Saturday night
Sweet harmonies filled and floated through our minds
Never felt this way before
We were riding so high an love and understanding
So why go wasting your time when you have got such a find
That is everlasting
All I'm asking you for when you walk out the door
Is to be my baby, baby
I just want to be sure
That forever and more
You would be my baby
All I'm asking you for when you walk out the door
Is to be my baby, baby
'Cause all this love is for you and you know
That I'm true
And I'll be your baby
And I want you to love me baby.
. . .
|
|
C'est le temps de l'amour,
le temps des copains et de l'aventure.
Quand le temps va et vient,
on ne pense à rien malgré ses blessures.
Car le temps de l'amour
c'est long et c'est court,
ça dure toujours, on s'en souvient.
On se dit qu'à vingt ans on est le roi du monde,
et qu'éternellement il y aura dans nos yeux
tout le ciel bleu.
C'est le temps de l'amour,
le temps des copains et de l'aventure.
Quand le temps va et vient,
on ne pense à rien malgré ses blessures.
Car le temps de l'amour
ça vous met au coeur
beaucoup de chaleur et de bonheur.
Un beau jour c'est l'amour et le coeur bat plus vite,
car la vie suit son cours
et l'on est tout heureux d'être amoureux.
C'est le temps de l'amour,
le temps des copains et de l'aventure.
Quand le temps va et vient,
on ne pense à rien malgré ses blessures.
Car le temps de l'amour
c'est long et c'est court,
ça dure toujours, on s'en souvient
. . .
|
|
L'un sans l'autre, c'est un incendie
Un incident, bien senti
L'un se dit prêt à mourir pour l'autre
L'autre aussi
L'un sans l'autre, c'est un incendie
Qui n's'éteint pas de la vie
L'un soleil, l'autre lune
L'un soleil et l'autre lune
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
L'un sans l'autre, c'est un incendie
De forêt, ou d'euphorie
L'un déclare sa flamme au 102
L'autre au 201 le feu
L'un sans l'autre, c'est un incendie
Aussi doué que la pluie
Tous les "oui" qu'ils se sont dit
Tous les "oui" qu'ils se sont dit
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
Vous avez ceci, c'est fusionnel
L'un a ses idées, et l'autre ses ailes
Alors laisser parler devient criminel
Se faire incendier sur la grande échelle
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
L'incendie (tcha tcha lala)
C'est l'un sans l'autre (tcha tcha lala)
. . .
|
|
Dis-lui toi que je t'aime
Ou programme moi sur IBM
Je n'aimerais pas le blesser
Je m'rends compte que pour compte nous l'avons laissé
Dis-lui toi que je t'aime
Et que il se branche
Sur la FM
Alors il pourra me capter
Ou bien c'est qu'il est complétement disjoncté
Je n'peux pas les yeux
Dans les yeux
Balancer ça
Il ne croirait pas
Je n'veux pas annoncer la couleur
Entre toi et moi
Je vois l'émoi
Quand il comprendra sa douleur
Je n'sais pas
Ce que tu dois
Faire pour être le seul double de moi
Dis-lui toi que je t'aime
C'est toujours le même dilemme
Un jour ou toujours qui sait
Combien de mois d'émoi cela va durer
Dis-lui toi que je t'aime
Entre l'amour l'amour et la haine
Question de pleins et de déliés
Qui sait combien de temps cela va durer
Dis lui dis lui redis lui quand même
Dédie-lui ce poème
C'est le never more jamais à toutjamais
Dis-lui toi que je t'aime
Bien sûr on en revient au même
Thème insoluble c'est vrai
C'est toi que j'aime
C'est toi que j'aime
Pour de vrai
. . .
|
|
Dans l'espoir docile
Tes ailes fragiles
Je te devine
Divine Idylle
L'amour qui sommeille
Dans un souffle irréel
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Je te vole une plume
Pour écrire une rime
Au clair de la lune
Mon ami l'idylle
Mon âme idéale
A la larme fatale
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Divine idylle
Sur mes vagues à l'âme
Elle a hissé la voile
J'ai le mal des chimères
Le coeur en flammes
Des étincelles
Il faut qu'elle freine
Si je ferme les yeux, elle m'appelle
Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle
Divine idylle
Mon ami l'idylle
Je rêve idylle
Divine idylle
Mon âme idéale
Mon idylle
. . .
|
|
Dans le mot "je t'aime", trop de m
et jamais, jamais un seul n
Dans "amour toujours", c'est le pour
ou le contre, c'est souvent la haine
On me d�visage, on m'envisage
comme une fille que je ne suis pas
Je m'exile, trop fragile
mille et une nuits m'�loignent de moi
Dans le mot "je'taime"
tandem, autant d'm
Parfois �a brille comme un diad�me
Toujours le m�me th'me
tandem, c'est idem
bient�t le crash
I don't know when
Tu es fort en th'me, math �l�m
mais en math sup, tu deviens bl�me
Dans "amour toujours", c'est le pour
ou le contre, on r�colte ce que l'on s�me
Tu me d�visages, tu m'envisages
comme une fille que je ne suis pas
Tu m'exile, si fragile
Mille et une nuits m'�loignent de toi
. . .
|
|
Il y a là la peinture, des oiseaux, l'envergure, qui luttent contre le vent
Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant
Il y a là les fissures, fermées les serrures, comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Il y a là là là, si l'on prenait le temps, si l'on prenait le temps
Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Il y a là les mystères, le silence,ou la mer qui luttent contre le temps
Il y a là les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant
Il y a là les murmures, un soupir, l'aventure, comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
. . .
|
|
Marilyn peint sa bouche
Elle pense à John, rien qu'à John
Un sourire, puis un soupir
Elle fredonne une chanson
Ni triste, ni gaie
Entre deux, trois interviews
Et du swing qui mousse
Dans son verre s'effondre
Marilyn chante son nom
Elle s'invente des chansons
Sur le mariage d'une étoile et d'un lion
Marilyn, Marilyn, amoureuse
Elle appelle John, John
De secrétaire en ministère
Au téléphone, elle attend
C'est un amour mystère
Un secret d'État, Marilyn change sa voix
Elle s'invente des prénoms
Et le mariage d'une étoile et d'un lion
Marilyn, amoureuse
C'est l'histoire d'une étoile et d'un lion
Elle s'invente des chansons
Sur le mariage d'une étoile et d'un lion
. . .
|
|