Qu'il est dur de défaire...
J'en reste K.O. !
Dans ta ville frontière
Sise au bord de l'eau.
Abrutit de lumière,
Comme pris au lassot,
Je me laisse défaire
De tout mes oripos.
Tes gestes d'orfèvre,
ta vie de femelle,
je te jure que je m'en fou...
Le plaisir vorace
Dans l'impasse...
Et alors ?
De ma vie vulgaire
Dans l'armée de l'air
Je garde l'amour, c'est tout.
Plus rien n'est en place,
Comme tout s'efface...
Et alors ? Je m'en fou...
Voilà donc la disgrâce ;
Où sons les chevaux ?
Mon ami Pégase
Et la belle Oso...
Oh je n'ai plus de visage.
Je reste caché.
Caché dans ton ombre...
Ton ombre portée.
Je suis dans l'espace,
Un temple de glace,
Je n'aime plus rien du tout.
Malgrès les menaces,
Comme tout me lasse,
Je m'en fou, je m'en fou...
Si dans tes bontés
Internationalles
Je ne vaux plus le coup,
C'est l'adieu aux armes,
L'oublie et en place,
Et alors ? Je m'en fou...
Donnez moi la lumière
Sur ce chant mué.
Ce long chant de misère
Et de vanité...
Comme tout est triste dans l'air
Où tout est à coté.
Ami voilà ma prière,
Voilà mes péchés.
Je suis dans l'espace,
Un temple de glace,
Je n'aime plus rien du tout.
Oh, je m'en fou, je m'en fou...
Je vis dans la crasse,
Je suis dégeulasse.
Et alors ?
Le chien de l'espace,
Dans la glace,
N'aboira plus.
Wou wou wou wou wou...
Wou wou wou wou wou...
Wou wou wou wou wou...
Wou wou wou wou wou...
Oh
Wou wou wou wou wou...
Wou wou wou wou wou...
[...]
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