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Chimene Badi




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Chimene Badi Album


Dis-Moi Que Tu M'aimes (2004)
2004
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Je ne sais pas son nom, il ne sait pas le mien
Il est comme une chanson, un air que l'on retient
Il voit ce que jamais mon imagination
Inventerait des illusions

Lui dans la cour en face, moi au troisième étage
Comme un rêve qui passe posé sur un nuage
Il pose son pinceau sur la ligne du temps
Et tout redevient beau en un instant

Il dessine les mots, découvre les nuances
Change le laid en beau, efface les absences
Il met de la couleur, des rouges, des bleus intenses
Son coeur est une plume, ses yeux un ciel immense

Je n'ose pas lui dire qu'il est mon univers
Qu'il est c' que je désire, c' que je n' sais pas faire
C' qui me manque pour partir là où l'ennui se perd
Son monde est mon soupir, l'autre lumière...

Il dessine les mots, découvre les nuances
Change le laid en beau, efface les absences
Il met de la couleur, des rouges, des bleus intenses
Son coeur est une plume, ses yeux un ciel immense

Et je m'écris en lui comme une histoire sans fin
Le soleil de ses nuits qui réchauffe ses mains
Je suis dans ses rivières, les pierres et l'eau qui coule
Son océan, ses mers, la vague qui l'enroule... !

Je ne sais pas son nom
Il ne sait pas le mien

Je suis dans ses rivières, les pierres et l'eau qui coule
Son océan, ses mers, la vague qui l'enroule... !

Je ne sais pas
Je ne sais pas son nom

Je ne sais pas son nom, il ne sait pas le mien

. . .


On est tout seul au monde quand on ne s'aime plus
Moi je compte les secondes du temps perdu
A chercher où tu t'enfuis
A chercher où tu m'oublies aussi

On s'est presque tout dit, toi tu n' m'écoutais pas
Pourtant mes larmes ont mis la pluie sur toi, toi
Et le temps qui nous sépare
Efface tout ce qui nous reste d'espoir

Même si tous les mots de mon coeur
Ne croisent jamais ton chagrin
Et même si j'ai mal, même si je pleure
Ne dis pas le mot FIN

J'ai appris le silence, construit des murs d'ennui
J'ai compté ton absence, voulu l'oubli
Mais tout ça, ça sert à rien
Les souvenirs c'est plus fort que le chagrin...

Même si tous les mots de mon coeur
Ne croisent jamais ton chagrin
Même si j'ai mal, même si je pleure
Ne dis pas le mot FIN...

Les souvenirs c'est plus fort que le chagrin

Même si tous les mots de mon coeur
Ne croisent jamais ton chagrin
Même si j'ai mal, même si je pleure
Ne dis pas le mot FIN

Même si j'ai mal, même si je pleure
Ne dis pas le mot... FIN

. . .


Tu me crois venue des enfers
Mon visage comme pire adversaire
J' n'en finis pas de te brûler
Et tu voudrais
Ne jamais m'avoir rencontrée

Le mal est fait, les mots sont dits
Je sais, c'est moi qui suis partie
J' n'en finis pas de regretter
Et je voudrais
Que tu veuilles bien me pardonner

Je ne cherche pas de refrain
A ce que l'on n'est plus
Je ne cherche pas de fin
A ce qu'on a perdu
Je ne cherche pas de musique
Pas d'excuses en chanson
Il n'y a rien de magique
Sans toi, rien de bon

Si je m'accroche encore à toi
Si j'écoute en boucle ta voix
C'est pour mieux ressentir le mal
Que je t'ai fait
Et tout le reste m'est bien égal

J'ignore si nos âmes sont faites
Pour se donner tout c' que l'on souhaite
J'ignore même pourquoi je respire
Tous ces regrets
Mais c'est trop tard pour te le dire

Je ne cherche pas de refrain
A ce que l'on n'est plus
Je ne cherche pas de fin
A ce qu'on a perdu
Je ne cherche pas de musique
Pas d'excuses en chanson
Il n'y a rien de magique
Sans toi

Je ne cherche pas de refrain
A ce que l'on n'est plus
Je ne cherche pas de fin
A ce qu'on a perdu
Je ne cherche pas de musique
Pas d'excuses en chanson
Il n'y a plus rien de magique
Sans toi, rien de bon

. . .


(Michel Sardou)

J'ai dans le cŒur, quelque part,
De la mélancolie,
Mélange de sang barbare
Et de vin d'ltalie,
Un mariage à la campagne
Tiré par deux chevaux,
Un sentier dans la montagne
Pour aller puiser l'eau.
J'ai au fond de ma mémoire
Des lumières d'autrefois
Qu'une très vieille femme en noir
Illuminait pour moi,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où les croix sont penchées.

Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...

J'ai dans la voix, certains soirs,
Quelque chose qui crie,
Mélange d'un chant barbare
Et d'un ciel d'ltalie,
Des colères monumentales
Que les vents m'ont soufflées,
Des discours interminables
Après le déjeuner.

Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...

J'ai quelque part dans le cŒur
De la mélancolie,
L'envie de remettre à l'heure
Les horloges de ma vie,
Un sentier dans la montagne
Quand j'aurai besoin d'eau,
Un jardin dans la campagne
Pour mes jours de repos,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où mon père est couché.

Je viens du sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
Et par tous les chemins,
J'y reviens...

. . .


Même quand on avance
Sans regarder derrière
Même quand on ne lance
A personne aucune pierre
On n' peut jamais dire
Quel mal d'aimer sera le pire

Est-ce la femme d'amour
Qui deviendra sorcière ?
Est-ce la vie qui court
Qui deviendra poussière ?
L'amour d'un enfant
Qui nous clouera les ailes au temps

Aimer comme ça vient
Aimer pour un rien
On a les amours qu'on mérite
Les peines qu'on aura écrites
On n'évite jamais rien
Ça vient comme ça vient
Ça vient comme ça vient

Aimer comme on veut
Aimer si on peut
On a les amours qu'on mérite
Mais aucune vie n'est écrite
Rien n'est jamais sans suite
On fait comme on veut
Pour faire ce qu'on peut
En amour

Avoir l'espérance
De se sentir aimer
Pour être un instant
Peut-être le dernier
A l'être vraiment
Et un jour en avoir la chance

Aimer comme ça vient
Aimer pour un rien
On a les amours qu'on mérite
Les peines qu'on aura écrites
On n'évite jamais rien
Ça vient comme ça vient
Ça vient comme ça vient

Aimer comme on peut
Aimer si on veut
On a les amours qu'on mérite
Mais aucune vie n'est écrite
Rien n'est jamais sans suite
On fait comme on veut
Pour faire ce qu'on peut
En amour
En amour
En amour
On fait ce qu'on peut

Aimer comme ça vient
Aimer pour un rien
On a les amours qu'on mérite
Les peines qu'on aura écrites
Rien n'est jamais sans suite
Ça vient comme ça vient
Ça vient comme ça vient

Aimer comme on veut
Aimer si on peut
On a les amours qu'on mérite
Mais aucune vie n'est écrite
Rien n'est jamais sans suite
On fait comme on veut
Pour faire ce qu'on peut
En amour

Mais aucune vie n'est écrite
Rien n'est jamais sans suite
On fait comme on veut

. . .


Je sais crier sur nos silences
Je sais affronter l'ignorance
Je sais chanter notre insolence
Je sais prier nos espérances

Je sais aimer le temps qui avance
Je sais savourer notre chance
Je sais espérer l'innocence
Mais pourquoi je n' sais pas
Te cacher dans ma voix
Ce qui tremble en moi

Mais pourquoi je n' sais pas
Arrêter les blessures
D'un monde qu'on dénature
Où l'air n'est plus pur
Te raconter l'histoire
Dans la chaleur du soir
A laquelle tu veux croire
Sans pleurer dans le noir

Mais pourquoi je n' sais pas
Sécher les larmes
Des femmes tenant nos armes
Aux coeurs emplis de lames
Supprimer les combats
Des hommes qui font nos lois
Auxquelles se plient nos voix
Qu'ils ne respectent pas

Mais pourquoi je n' sais plus
Pourquoi je n' sais pas
Pourquoi je suis perdue
Comme un enfant dans les rues

Je sais gifler notre arrogance
Je sais pardonner nos absences
Je sais aimer sans perdre patience
Mais pourquoi je n' sais pas
Te serrer dans mes bras
Comme une réponse pour toi

Mais pourquoi je n' sais pas
Arrêter les blessures
D'un monde qu'on dénature
Où l'air n'est plus pur
Te raconter l'histoire
Dans la chaleur du soir
A laquelle tu veux croire
Sans pleurer dans le noir

Mais pourquoi je n' sais pas
Sécher les larmes
Des femmes tenant nos armes
Aux coeurs emplis de lames
Supprimer les combats
Des hommes qui font nos lois
Auxquelles se plient nos voix
Qu'ils ne respectent pas

Mais pourquoi je n' sais plus
Pourquoi je n' sais pas
Pourquoi je suis perdue
Comme un enfant dans les rues

Je sais, je ne sais pas
Je sais

Je sais, on ne sait pas
Je sais, on ne sait plus

. . .


Il faudrait se revoir
Où la vie nous sépare
A l'endroit des adieux
Recommencer un peu
D'abord par se mentir
Avant de tout se dire
Avant que tout soit clair
Avoir connu le pire
Avoir connu l'enfer

Et pardonner, pardonner ces heures où le temps a manqué
Où le coeur arrêté, arrêté sur les jours s'est brisé
Pardonner, c'est le moment que l'on choisit pour être aimé
Pardonner, c'est croire encore que le meilleur reste à donner

Accepter qu'un chagrin
Ne vaut rien sans marin
Sans Méditerranée
On n'aurait pas rêvé
Accepter que l'amour
Est encore et toujours
Dans nos yeux qui voyagent
Dans nos mains de velours
Lourd de tous les naufrages

Et pardonner, pardonner ces heures où le temps a manqué
Où le coeur arrêté, arrêté sur les jours s'est brisé
Pardonner, c'est le moment que l'on choisit pour être aimé
Pardonner, c'est croire encore que le meilleur reste à donner

Pardonner, tout donner
Pardonner, pardonner
Pour donner - tout donner
Pardonner, pardonner
Pour tout donner - tout donner
Pardonner, pardonner
Pardonner pour donner

Il faudrait se revoir
Où la vie nous sépare

. . .


J' voudrais qu'on m' trouve belle, qu'on se voit dans mes dents blanches
Etre un Top Model dès que j'ai l' moral qui flanche
Y'a des jours avec mais avec quoi, je sais pas
J' connais les jours sans, les jours où j' fais les sans toi

J' veux être super-femme, super-moi, super qu'qu' chose
Pas celle qui sait pas mais celle qui peut, celle qui ose
Etre comme j'étais pas lorsque je t'ai rencontré
Etre bien dans ma peau pour qu' t' aies envie d'y entrer

Dis-moi que tu m'aimes
Ça me suffira
Dis-moi que tu m'aimes
Et ça suffira
Et ça suffira

J' voudrais qu' tu goûtes l'eau qui coule au fond de mes yeux
Quand tu m' dis ces mots d'amant jamais amoureux
Quand j'essaie de fuir, je me fais vite rattraper
Par le souvenir de tous les mots qu' tu m' chantais

Dis-moi que tu m'aimes
Ça me suffira
Dis-moi que tu m'aimes
Et ça suffira
Et ça suffira

Ça me fait mal de rester là
Te voir ne pas me regarder
Si tu pouvais rien qu'une fois
Te retourner, me rassurer

Dis-moi que tu m'aimes
Ça me suffira
Dis-moi que tu m'aimes
Et ça suffira
Et ça suffira

J' voudrais qu'on m' trouve belle
Qu'on se voit dans mes dents blanches

. . .


Il y a bien longtemps qu'on ne se parlait plus
Il y a bien longtemps qu'on ne se plaisait plus
Il y a bien longtemps qu'on ne s'était pas dit
Le prénom d'un enfant dont on aurait envie

Et puis un jour tout est fini, c'est là que tout a commencé
Quand on s'est dit "on se quitte", on ne s'est plus jamais quittés

Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Retomber amoureux et de nouveau se dire "je t'aime"
Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Etre heureux d'être heureux
Différents mais toujours les mêmes

Il y a bien longtemps les dîners aux chandelles
Il y a bien longtemps les petits câlins à l'hôtel
Et le jour qui se lève, dire bonjour aux voisins
Se prendre pour Adam et Eve et croquer dans le même pain

Un jour on s'est dit "s'est fini", c'est là que tout a commencé
Un jour on s'est dit "on se quitte", on ne s'est plus jamais quittés

Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Retomber amoureux et de nouveau se dire "je t'aime"
Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Etre heureux d'être deux, différents mais toujours les mêmes

Un jour on s'est dit "s'est fini", c'est là que tout a commencé
Le jour où nous nous sommes quittés
On ne s'est plus jamais quittés

Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Retomber amoureux et de nouveau se dire "je t'aime"
Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Etre heureux d'être deux, différents mais toujours les mêmes

Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Retomber amoureux et de nouveau se dire "je t'aime"
Retomber amoureux de la personne qu'on aime
Etre heureux d'être deux, différents mais toujours les mêmes

. . .


(The Day After Tomorrow - French soundtrack)

On portera nos regrets
Si nous survivons peut-être
Le souvenir dévasté
De notre ancienne planète

On emportera nos remords
De ce temps où l'on savait
Si honteux d'avoir eu tort
D'oublier que l'on pouvait

J'ai rêvé la douceur de certains soirs
J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop tard
Espéré que l'on pouvait changer
J'ai rêvé d'être encore avant le jour d'après

Devant notre indifférence
A l'essence de la terre
Quand la nature se venge
Il n'est plus temps des prières

On peut détourner nos têtes
S'enfermer dans nos armures
Se noyer de vin de fête
Et puis foncer dans le mur

J'ai rêvé la douceur de certains soirs
J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop tard
Espéré que l'on pouvait changer
J'ai rêvé d'être encore avant le jour d'après

Il est temps
Nous sommes encore hier
Juste l'instant d'avant
On peut encore tout faire
Désormais cet absurde ballet
Et que ne vienne jamais
Jamais le jour d'après

. . .


Tant de fois j'ai murmuré les mots
Sans jamais vraiment les dire
Tant de fois j'ai su frôler ta peau
Sans savoir la retenir
Je suis passée à côté de toi

J'aurais tant voulu que tout s'éclaire
Pour me fondre dans la lumière
Même si aujourd'hui tu n'es plus là
Un jour ou l'autre on se reconnaîtra
Quelque part au hasard de la vie

Et j'attendrai de voir ce jour
Comme on attend l'amour
Et si je brûle d'impatience
Je me ferai violence
Je donnerai n'importe quoi
Pour te serrer dans mes bras
J'attendrai de vivre enfin
Tout contre toi

Aucune femme au monde ne pourra
Je le sais, t'aimer comme ça
Je n' veux plus jamais rien regretter
Je veux vivre pour te retrouver
Pour ne plus trahir mon seul désir

Et j'attendrai de voir ce jour
Comme on attend l'amour
Et si je brûle d'impatience
Je me ferai violence
Je donnerai n'importe quoi
Pour te serrer dans mes bras
J'attendrai de vivre enfin
Tout contre toi

De tout mon coeur
De toute mon âme
Je prie le ciel pour qu'il m'envole
Tout contre toi...

Je donnerai n'importe quoi
Pour te serrer dans mes bras
J'attendrai d'être là...
Tout contre toi...
J'attendrai...
Contre toi.

. . .


Oublier le passé pour un jour à venir
Oublier
Oublier leurs baisers pour ton premier sourire
Effacer
Tout le noir de mes yeux dans tes yeux qui éclairent
Egarer
Tous les soirs d'aveux dans tes voeux qui espèrent
S'abandonner

Et j'ai tout oublié ne me laissant qu'à tes allées
Perdue, j'ai tout gagné
Et j'ai tout effacé, déchiré la mémoire d'avant
Qui n' connaît pas le temps
Où mon envie de croire
Est née à travers ton regard
J'ai trouvé le fil d'aimer
J'ai tout perdu pour te gagner

Et j'ai tout oublié

Oublier d'être sage à l'ombre de ta peau
Oublier
Oublier mes bagages pour me jeter à l'eau
Et m'évader
En restant à ton bord, laissant ton eau draguée
Et laisser
Sur le champ de ton corps la clé d'un coeur lassé
Abandonner

Et j'ai tout oublié ne me laissant qu'à tes allées
Perdue, j'ai tout gagné
Et j'ai tout effacé, déchiré la mémoire d'avant
Qui n' connaît pas le temps
Où mon envie de croire
Est née à travers ton regard
J'ai trouvé le fil d'aimer
J'ai tout perdu pour te gagner

Et j'ai tout oublié
Et j'ai tout effacé

Et j'ai tout oublié ne me laissant qu'à tes allées
Perdue, j'ai tout gagné
Et j'ai tout effacé, déchiré la mémoire d'avant
Qui n' connaît pas le temps
Où mon envie de croire
Est née à travers ton regard
J'ai trouvé le fil d'aimer
Pour te gagner

Et j'ai tout oublié ne me laissant qu'à tes allées
Perdue, j'ai tout gagné
Et j'ai tout effacé, déchiré la mémoire d'avant
Qui n' connaît pas le temps
Où mon envie de croire
Est née à travers ton regard
J'ai trouvé le fil d'aimer
J'ai tout perdu pour te gagner

J'ai dessiné mon nom sur ta peau
Mon tableau
Pour ne pas oublier que l'amour porte un nom
Ton nom

. . .


Je n'attends rien de lui
Rien qui ne soit pas tout
Je n'attends rien et puis
Je n'attends rien du tout
Je n'attends rien depuis
Qu'il m'a promis beaucoup
Je n'attends rien sans lui
Je n'attends rien du coup

Je n'attends rien de lui
Qui puisse tuer le goût
Que vient prendre la nuit
Entre les bras d'un fou
Je n'attends rien de pire
Que de le voir partout
Et de le voir partir
Quand je n'attends que nous
Quand je n'attends que nous
Quand je n'attends que nous
Je n'attends rien de lui

C'est comme le fond d'un puits
Où l'on jette ses sous
Un voeu de rien suffit
Un voeu de rien du tout
Je n'attends rien d'écrit
Mes des gestes surtout
Et ça me tient en lui
Et ça me tient debout

Si loin et si près de nos lèvres
Dieu sait ce que l'on se réserve
Si loin et si près de nos lèvres
Ce sont les silences qu'on observe

Je n'attends rien de lui
Qui puisse tuer le goût
Que vient prendre la nuit
Entre les bras d'un fou
Je n'attends rien de pire
Que de le voir partout
Et de le voir partir
Quand je n'attends que nous
Quand je n'attends que nous
Quand je n'attends que nous
Je n'attends rien de lui

Je n'attends rien de lui
Rien qui ne soit pas tout
Je n'attends qu'un de lui
Je n'attends qu'un de nous

. . .


Devenir
Ce que j'ai gardé en moi comme un rêve d'avenir
Que je suis prête à découvrir
Mais sans tenir
A ces images du passé qu'il faut laisser partir
Trouver la force d'en sortir
Et puis quels que soient les détours
Il vaut mieux ne pas faire demi-tour
Vivre au jour le jour

C'est
Comme un appel qui me réveille
Une étincelle dans les yeux
Comme un éveil après le sommeil
Quand tout brille de mille feux
Comme un appel qui me révèle
Une vie qui se renouvelle
Comme un appel plus rien n'est pareil
C'est la vie qui m'appelle

Tout fragile
Ce sentiment d'abandonner mes peurs inutiles
Celles qui me rendent immobile
Et d'où vient-il
Ce besoin de changer d'air, d'enfin trouver la flamme
Qui fait de l'enfant une femme
En moi ce bruit qui court
Comme la fin d'un compte à rebours
Et renaître à ce jour

C'est
Comme un appel qui me réveille
Une étincelle dans les yeux
Comme un éveil après le sommeil
Quand tout brille de mille feux
Comme un appel qui me révèle
Une vie qui se renouvelle
Comme un appel plus rien n'est pareil
C'est la vie qui m'appelle

Pour enfin découvrir
Celle que je suis prête à devenir
Sans la retenir
Sans ne plus m'enfuir

C'est
Comme un appel qui me réveille
Une étincelle dans les yeux
Comme un éveil après le sommeil
Quand tout brille de mille feux
Comme un appel qui me révèle
Une vie qui se renouvelle
Comme un appel plus rien n'est pareil
C'est la vie qui m'appelle

Comme un appel, c'est comme un appel
Une étincelle dans les yeux
C'est comme un appel, c'est comme un appel
Quand tout brille de mille feux
C'est comme un appel, c'est comme un appel
Une vie qui se renouvelle
C'est comme un appel, c'est comme un appel
C'est la vie, c'est la vie

. . .


J'aurais préféré être une aventure
Une histoire d'un soir, un instant sans futur
J'aurais préféré n'être qu'une de celles
Que tu rejoins la nuit, rien qu'une étincelle

Ne plus être l'amie, la tendre confidente
Celle à qui l'on sourit mais qu'on ne voit pas

Moi j'aurais préféré que tu te taises enfin
Que je connaisse aussi la douceur de tes mains
Oh j'aurais préféré que tu m'aimes rien qu'une heure
Etre juste un jouet ou même être une erreur

Moi j'airais tant aimé, mm... si tu savais
J'aurais préféré ne plus être moi
Préféré aussi t'avoir rien qu'une nuit
Etre celle que l'on s'offre mais qui n'a pas de prix

Moi j'aurais préféré ne rien savoir de toi
Que la force de ton corps, la douceur de ta voix
Oh j'aurais préféré être fée de plaisir
Et je pourrais enfin te voir fermer les yeux

N'être rien qu'une femme mais si femme une nuit
Partager tes plaisirs et sortir de ta vie
Oublier tous ces mots, même les confidences
Et ne sentir enfin que l'odeur de ta peau

Je suis prête à tout perdre et prête à tout donner
Pour savoir de toi ce qui ne se dit pas
Les gestes impudiques, les désirs que l'on tait
Belle comme la musique de l'amour que l'on fait.

. . .


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